samedi 11 décembre 2021

5 DECEMBRE: DECOUVERTE DE LA MAISON DE ZOLA A MEDAN ET DU MUSEE DREYFUS ATTENANT.

Dimanche 5 décembre, nous avons enfin pu découvrir la maison de ZOLA à Médan, qui était fermée depuis 10 ans pour travaux, et aussi le tout nouveau musée consacré à l'affaire Dreyfus installé dans un bâtiment attenant. Nous étions 21 inscrits, mais notre amie Jeanine Monteil, effrayée par les trombes d'eau qui se sont abattues sur l'A13, a préféré faire demi-tour. Dommage, mais elle a sans doute bien fait si elle ne le "sentait" pas ,ce parcours, dans ces conditions.

QUI ETAIT LA? D'abord le noyau dur du groupe, les anciens collègues du lycée Jean Jaurès de Chatenay-Malabry, leurs conjoints , parfois leur famille et leurs ami(e)s: Jean-Marie Fabre et Michelle, ainsi que Jean-François, fils de Jean-Marie (qui nous rejoint cette fois encore); Dominique Michel et Jacques; Florence Poirson et Claude, ainsi que Jacqueline Mazeau et Sylvie Geslot (amies de Florence); Bénédicte Monnier. Dominique et Bénédicte exercent encore leur activité de professeurs de Lettres; et enfin Simone Wajsfelner. Etaient là aussi Arlette Calloud,ancienne professeure de Lettres, et son mari Jean-Marc, tous deux animateurs de l'association buressienne "Des auteurs et des voix" (ils organisent des lectures publiques de qualité). Michèle Godelle et Régine Hurteau, anciennes enseignantes aussi, amies de Janine Esquirol (qui ne peut plus actuellement participer à nos sorties) étaient de la partie. Enfin quatre amies ulissiennes ,du groupe des amis du parc Nord , étaient une nouvelle fois de l'aventure: Francine Lalou et Odile Marteau, les Inséparables, ainsi que Michele Lebedel (ancienne institutrice qui a longtemps habité Chatenay-Malabry) et son amie Liliane Goulois.

                                                          LES PHOTOS DE GROUPE:

Devant la maison de Zola.

De g à dr: Jean-Marc et Arlette, Odile, Claude, Liliane, Bénédicte, Florence, Michèle des Ulis (trop discrète!), Dominique, Francine, Jean-Marie, Michelle, Simone, Jean-François, Sylvie et Jacques. Manquent sur la photo Régine et Michele G arrivées en retard.

Et n'oublions pas le GO...

LA MAISON DE ZOLA:

Emile ZOLA (1840-1902) acquiert en 1878, grâce au succès de L'Assommoir", la maison de Médan, située au 26 rue Pasteur. Nous sommes dans la vallée de la Seine. A la bâtisse d'origine, qu'il appelle sa "cabane à lapins", il ajoutera au fil du temps la tour Germinal et la tour Nana, du nom des romans dont le succès lui a apporté le financement nécessaire ...Il y vivra avec son épouse Alexandrine jusqu'à sa mort en 1902. Le couple y passe la plus grande partie de l'année, mais se replie en hiver dans un appartement loué à Paris. Ils ont une autre location à Aix en Provence. 

Zola y écrivit  écrivit 8 des 20 volumes du cycle des Rougon-Macquart , histoire d'une famille sous le 2e Empire, dont Germinal, Nana, la Bête humaine et Au Bonheur des Dames..




Au centre la "cabane à lapins" (la bâtisse d'origine), à gauche la tour Germinal, à droite la tour Nana. A droite de la maison, un autre bâtiment abrite à présent le musée Dreyfus. Devant la maison s'étend un jardin d'agrément, et le parc se prolonge sur la droite via une allée d'arbres.

Emile Zola et Alexandrine, avec leurs petits chiens, dans le jardin de Medan 
(Exposition  de photos de Zola sur une place de  Medan).

D'autres constructions furent réalisées dans la propriété: un pavillon pour y héberger son éditeur, une maison pour le jardinier, une ferme pour leurs bêtes, une serre pour les fleurs.

Zola reçoit souvent à Médan ses amis, notamment des écrivains , comme le "groupe" dit "de Médan"(Maupassant, Huysmans, Hennique, Céart et Alexis) : Zola et ces écrivains rédigeront un recueil de nouvelles, appelé "les Soirées de Médan", en hommage à Zola, chef de file du courant naturaliste.

AU SOMMET DE LA TOUR GERMINAL...
Au sommet de la tour Germinal, Zola a créé un magnifique espace ,une sorte de grand salon, constitué d'une salle de billard et d'un autre espace attenant: la pièce est  très haute de plafond, très lumineuse car la lumière du jour y pénètre abondamment à travers les magnifiques verrières qu'il y a fait installer.

Dans lespace attenant à la salle de billard, un joli mobilier, un beau lustre, un buste de Zola et surtout de magnifiques verrières. Zola aimait les beaux meubles et les beaux objets.

Dans la salle de billard.
On aperçoit notamment un tableau représentant Zola enfant avec ses parents. A cette époque la famille de Zola vivait dans l'aisance, la mort prématurée du père, ingénieur des travaux publics, alors que Zola n'a que 7 ans, va plonger le jeune Emile et sa mère dans la gêne.

Autre aperçu. Les objets exposés au mur renvoient au goût de Zola pour la collection d'objets.
(Photo: Jean-Marc Calloud).

ZOOM sur les verrières:
les motifs renvoient à la Nature ou aux animaux.




LE BUREAU DE ZOLA :
pièce essentielle de la maison bien sûr, située dans la tour Nana!

La table de travail de Zola...
.
Belle pièce cossue... (Photo: Dominique Michel).

Face au bureau de l'écrivain, là encore une grande verrière qui apporte force lumière dans la pièce.


Elle est dotée d'une belle cheminée. Au dessus de celle-ci, on peut lire une inscription latine:"Nulla dies sine linea" (pas un jour sans avoir écrit une ligne).
Levé chaque jour à 7h, après une légère collation et une promenade d'une demi-heure au bord de la Seine, Zola s'adonnait à une séance de travail de 4 heures où il écrivait 5 pages... L'après midi était réservé à la lecture et à la correspondance.

                                                      (Photo: Francine Lalou)
Devant la cheminée, une mosaïque en forme de salamandre: il paraît que la salamandre protège du feu. Un soupçon de superstition chez les Zola?

Sans doute Zola faisait-il sa sieste ici...

Bien installée notre amie Jacqueline ! Quel effet cela fait-il de s'asseoir dans un fauteuil où le grand homme a sans doute posé moultes fois son fondement?

LA LINGERIE :

A l'étage du dessous, on découvre la lingerie. Pièce affectionnée d'Alexandrine, qui s'y livrait à des travaux de couture.

                  (Photo: Francine Lalou)
Au fond, on aperçoit un buste de Jeanne Rozerot, jeune lingère engagée par le couple en 1888, qui allait bouleverser la vie de Zola. Il en tombe amoureux, se lance alors dans une double vie, et installe bientôt Jeanne à Verneuil sur Seine, tout près de Médan. Il en aura 2 enfants, Denise et Jacques. En même temps, il ne souhaite pas se séparer d'  Alexandrine, qui accepte la situation à condition que le nom de Jeanne ne soit jamais prononcé devant elle. A la mort de Zola, elle fera reconnaître les deux enfants de Jeanne.

Zola avec Jeanne et ses enfants.

LA SALLE DE BAINS:

Murs et plafond carrelés, plancher au sol...

LA CHAMBRE DES ZOLA:

Simple et très claire.

LA CUISINE:

Belle batterie de cuisine en cuivre.
(Photo Michele Lebedel)

Autre vue.
Un décor en carreaux de Delft, et toujours de jolis lustres, et des verrières colorées..
(Photo Dominique Michel)


Ce personnage sur le vitrail de la porte de la cuisine est une référence à un roman de Zola.

LA SALLE A MANGER:

Notre guide nous fait découvrir pour finir la salle à manger...


(Photo Dominique Michel)
Beau lustre et beaux meubles toujours, et toujours ces verrières colorées qui laissent largement entrer la lumière. Joli plafond orné de fleurs de lys (aucune référence à la royauté pour le Républicain qu'est Zola), beau carrelage au sol.

Détails d'un des vitraux.

LE MUSEE DREYFUS:
Nouvellement créé dans un bâtiment annexe, il est ouvert pour la première fois au public à l'automne 2021;  il évoque l'affaire Dreyfus à travers l'engagement de Zola. Le texte de son fameux appel dans l'Aurore , "J'accuse", est par exemple dûment placardé sur un mur du musée...

A l'entrée du musée, une présentation de celui-ci et les portraits des contemporains de l'affaire, dreyfusards et antidreyfusards.

 Accusé à tort de haute trahison pour avoir soi disant transmis aux allemands des documents secrets , le capitaine  Alfred Dreyfus , juif alsacien, est condamné et envoyé au bagne. Bien que le vrai coupable, le commandant Esterhazy, ait été démasqué, l'armée refuse de se dédire et cherche à étouffer l'affaire, d'où l'intervention de Zola dans le journal l'Aurore. Tout cela va entraîner pendant plusieurs années un affrontement entre dreyfusards et antidreyfusards, sur fond d'antisémitisme. Zola devra s'exiler en Angleterre. D'abord gracié, Dreyfus ne sera réhabilité qu'en 1906, bien après la mort de Zola.

Photos de Zola et de sa famille et documents divers.

La fameuse lettre de ZOLA dans l'Aurore!

La chronologie de l'affaire Dreyfus...


Le déchaînement parfois ordurier de certains journaux antidreyfusards contre Zola.

On l'accuse d'être à la solde de l'étranger.

LA MORT AMBIGUE DE ZOLA: ACCIDENT OU MEURTRE?

Emile Zola meurt en 1902 asphyxié pendant son sommeil du fait que le conduit de la cheminée de son appartement de Paris s'était trouvé bouché. Alexandrine en réchappe de peu. Cependant, la confession tardive d'un activiste antidreyfusard laisse penser que la cheminée avait été bouchée intentionnellement... Zola a peut être été tué par l'affaire Dreyfus.

UN PETIT TOUR DANS LE JARDIN.

Promenade dans l'allée d'arbres qui longe le musée.
(Photo:Michele Lebedel)

Au bour de l'allée d'arbres, un buste de Zola.
(Photo:Michele Lebedel)

Coup d'oeil sur une petite exposition de photos prises par Zola , organisée par la commune de Medan:
A  partir de 1888, Zola se passionne pour la photographie. Il photographie par exemple abondamment le village de Médan . L'exposition présente ses photos de la commune, mais aussi des photos privées de Zola . On y découvre aussi le chalet du Paradou qu'il a fait construire sur l'île du Platais , sur la Seine.

L'exposition présente des photographies de Médan  par Zola.

Les Zola devant leur maison.

Alexandrine avec des cousins dans le jardin.

Le PARADOU de Zola sur l'île du Platais.
L'écrivain y fit construire ce chalet et y organisa des parties champêtres.On y accédait dans la barque "Nana". Le nom "Paradou" est une référence au roman "La faute de l'abbé Mouret" paru en 1875: il désigne une sorte d'endroit paradisiaque où l'abbé Mouret, oubliant ses voeux, connut l'amour.

Sympa cette petite expo, n'est-ce pas Francine  et Odile?

MEDAN APRES ZOLA:
* 1905 : Alexandrine Zola fait don de la propriété à l'assistance publique pour qu'elle y crée un établissement hospitalier de santé.
* 1982-83: la maison sert d'école des personnels de santé.
* 1984: devenue monument historique, la maison devient le musée Emile Zola.
*1999: l'association Maison Zola - Musée Dreyfus, d'abord présidée par Pierre Bergé, envisage une restauration de la maison et la création d'un musée consacré à l'affaire Dreyfus dans le bâtiment attenant qu'utilisait  l'assistance publique.
* 2011-2021: fermeture du site  pour travaux. Les pièces de la maison sont restituées dans leur décor d'origine, notamment grâce à des photographies. Le musée Dreyfus est créé.
*Octobre 2021: réouverture au public.


A BIENTOT POUR UNE NOUVELLE AVENTURE!

















lundi 15 novembre 2021

13 NOVEMBRE: VISITE GUIDEE DE CHEVREUSE sous la houlette de l'excellent Michel CHARON.

 Bonjour à tous,

Jusqu'au dernier moment nous nous sommes demandés si nous la ferions cette visite, eu égard aux incertitudes de la météo. Finalement, nous l'avons faite, et nous avons eu raison. Le ciel était couvert, et nous avons essuyé quelques gouttes avant d'entrer dans l'église. Mais nous n'avons pas visité pour l'essentiel sous la pluie. Et notre brillant guide nous a fait oublier l'absence de soleil.

Moi qui teste de temps en temps votre mémoire en vous soumettant des images de nos anciennes sorties, j'ai eu une grosse absence en proposant cette sortie: nous l'avions déjà faite en 2016 avec le même M. Charon (vous retrouverez toutes les explications données au cours de la visite guidée en cliquant sur le lien en bas de page). Mais finalement, suffisamment d'entre vous n'aviez pas participé à la sortie de 2016, et j'ai décidé que vous faire connaître Chevreuse sous la houlette de M. Charon était une expérience à  reproposer à ceux qui ne l'avaient pas vécue! 

Pas de belle photo de groupe hélas cette fois-ci ! J'avais envisagé de la faire à la fin depuis l'étang aux oies, mais ça n'a pas été possible. Je n'ai pas eu le réflexe de la proposer au cours de la visite. Vous aurez à la place des images au fil de la visite.

Qui participait?

Nos amis collègues ou anciens collègues du lycée Jean Jaurès de Chatenay-Malabry (le noyau dur du Hurepoix's band), à savoir Dominique accompagnée de son époux Jacques, Bénédicte, et aussi Jean-Marie et son épouse Michelle (qui avaient déjà suivi la visite de 2016, et étaient d'accord pour une piqûre de rappel). Ils étaient venus avec Jean-François, le fils de Jean-Marie, que nous avons eu plaisir à retrouver. Etaient de la partie aussi Jacqueline et Sylvie (amies à l'origine de ma collègue Florence de Chatenay, qui avait, elle, déjà participé à la sortie de 2016 ), fidèles de nos sorties. Avaient répondu présents Arlette et Jean-Marc , de l'association buressoise "Des Auteurs et des Voix" ... qui propose des lectures publiques d'excellente qualité sur des périodes de notre histoire (connus par une amie et ancienne collègue). Enfin, un gros contingent d'Ulissien(e)s complétait le groupe : Michelle L, du groupe "J'aime le parc Nord" était une fois de plus de la partie, ainsi que  Francine et Odile,  qui avaient amené 3 nouveaux amis à elles:Marie-Louise, Marie-France et Guy.. De ce fait, nous étions un groupe de taille décente (17 personnes) pour bénéficier des lumières de M. Charon...

Plusieurs amis s'inquiétaient de savoir comment marquer leur reconnaissance à notre guide pour la prestation de qualité qu'il nous avait offerte, la solution a été trouvée: nous lui avons acheté plusieurs opuscules rédigés par lui sur la visite de Chevreuse.

ALLEZ, ON REFAIT EN GROS LA PROMENADE, vous me suivez?

Innovation par rapport à 2016: la visite commence devant la mairie. Occasion de commenter le blason qui figure à son fronton et d'évoquer ainsi l'origine du nom de la ville et les seigneurs de Chevreuse.


L'étymologie du nom de Chevreuse  est "capra" (chèvre en latin), et le terme "cavrosa" qui figure sous le blason est une des multiples déformations du terme d'origine au fil du temps. Des chèvres figurant sur le blason d'origine des seigneurs de Chevreuse furent remplacées après les croisades par des lions, qui correspondaient plus à l'image de puissance qu'ils voulaient marquer.


M. Charon face à ses ouailles.
A droite on reconnaït Bénédicte, puis Jean-Marie et Michelle, Jean -François et enfin Arlette.

On reconnait à droite Sylvie, puis Odile,derrière M. Charon : Jean-Marc ;  au centre Michelle et Arlette; tout à fait à gauche on aperçoit Jean-François et Dominique de profil, et on devine Jean-Marie.

LES PETITS PONTS:
Un canal de dérivation de l'Yvette est surmonté de 22 petits ponts tous différents qui permettaient l'accès aux nombreuse tanneries présentes autrefois le long du canal.

En vue ici :  le séchoir à peaux (aujourd'hui salle d'exposition).

Charme des petits ponts.

Ce pont -ci donne accès à une grande propriété.

On aperçoit le sommet d'une belle maison de maître. Au XIXe siècle, des parisiens se sont fait construire de belles résidences secondaires dans la vallée de Chevreuse.

Pause devant le château-fort de Chevreuse, occasion de raconter son histoire et d'expliquer l'évolution de sa structure.
(voir l'article sur la visite de 2016).

Devant le cabaret du lys où RACINE avait ses habitudes.(En fait le cabaret était plus haut dans la rue).
A gauche on aperçoit Francine,au centre Odile , plus à droite Michelle L, et à l'extrême droite Jean- François.

Dominique et Jacques visiblement habités par le souvenir prégnant de Jean Racine.

Devant les "deux églises" de Chevreuse. L'église Saint Martin (XIIe s) et  le prieuré Saint Saturnin (en premier plan) .

Récemment rénové, le prieuré est ce qui reste d'une ancienne abbaye détruite au XVe s.
Sur la droite, entourant Odile, les trois amis de Francine et Odile ayant rejoint le groupe pour cette visite.

Visite de l'église.

Aperçu de l'intérieur de l'église.Romane à la base, et couverte de voûtes gothiques.

M. Charon  a dressé ici un portrait de 2 figures marquantes de Chevreuse: le révolutionnaire Fabre d'Eglantine, et Marie de Rohan, duchesse de Luynes puis de Chevreuse.
(Voir le compte rendu de 2016 ci-dessous).

* En 2016, nous avions déjà visité Chevreuse sous la houlette de M. CHARON.

RETROUVEZ DES EXPLICATIONS beaucoup plus détaillées DE LA VISITE EN CLIQUANT SUR CE LIEN:

https://jmsattonosrandonnees.blogspot.com/2016/10/151016en-vallee-de-chevreuse-la.html

* Nous avons vu Chevreuse un jour très nuageux, c'est dommage, la voir en automne un jour de belle lumière, c'est autre chose!

JUGEZ EN en cliquant sur ce LIEN  et vous verrez ce qu'est CHEVREUSE EN AUTOMNE par une belle journée !

https://jmsattohurepoix.blogspot.com/2021/11/a-la-decouverte-de-chevreuse-en-automne.html

* Rappelez-vous: nous avions aussi découvert les fresques de l'église de Saint Forget avec Michel Charon:

Voir: https://jmsattonosrandonnees.blogspot.com/2016/04/2416-decouverte-de-leglise-de-saint.html

 * M. Charon a produit un opuscule  sur les GRANDES FIGURES DE CHEVREUSE que plusieurs amis ont eu la chance de se procurer à l'occasion de cette visite:

A bientôt !
Prochaine visite: la maison de Zola à Médan le 5 décembre. C'est complet.