lundi 18 mai 2015

16 mai 2015, journée fabuleuse! : 1e partie : la visite du château de La Celle Les Bordes.

                         * MATIN: visite du château de La CELLE LES BORDES.

9h45: nous voici comme convenu au pied de l'église de La Celle, qui fait face au château d'époque Henri IV , construit au début du XVIIe siècle par un compagnon du roi, Claude de Harville, déjà seigneur de Palaiseau. La famille de Harville possédait le fief depuis le XIVe siècle. Autre propriétaire prestigieuse: la duchesse d'Uzès (fin XIXe, début XXe) qui avait fait du château un centre de chasse à courre: il abritait toute une équipe de chasse  composée de 60 chiens et de chevaux. Son petit-fils, le duc de Brissac, vivra au château de 1933 à 1993. L'actuel propriétaire, Thierry Gobet, admet les visites pour les groupes à partir de 25 personnes.
Après diverses péripéties, nous avions atteint le quota voulu.

 
Un joli village des Yvelines: La Celle. Au fond à droite on aperçoit la masse du château qui fait face à l'église.

Outre le HUREPOIX'SBAND qui comptait ce jour-là 18 personnes grâce à la mobilisation de quelques amis d'amis, l'apport des ex-souriaus (ancien profs du lycée de l'Essouriau aux Ulis) au nombre de 8 nous avait permis déjà d'atteindre le chiffre voulu. Par ailleurs un groupe de quelques personnes, qui désiraient visiter le château, avait profité de l'occasion pour s'ajouter au nôtre.
Participaient donc le matin Guy (Jacqueline qui s'est foulé une cheville est restée à la maison),Jean-Marie et Michelle, Janine et Norbert, Marcelle, Simone et deux de ses amies, Josette et Brigitte, Claude et Florence (qui était accompagnée de deux amies: Marie-Dominique et Jacqueline), Danielle et Henriette anciennes du lycée  de Gif, Dominique qui avait décidé Jacques son époux (on apprécie!) et moi même... Côté Ulissiens , nous avons bénéficié de la présence de Jeannine et JC Coppi (ancien proviseur de l'Essouriau m'a-t-on dit), Joel et Anne-Marie Charlet, venus de Verrières, Emmanuel Mathiez, secrétaire du prestigieux orchestre L'Odyssée symphonique dirigé par Sabine Aubert, son époux, et une amie, Claudine, enfin Marc Poissonnier.

Notre hôte, qui m'avait dit apprécier les "vastes auditoires", avait de quoi être satisfait...

 
L'église Saint-Germain (XVe siècle) s'est substituée à un édifice plus ancien construit en l'an 1000; celui ci faisait partie d'un important monastère créé au VIe siècle par St Germain, évêque de Paris, qui n'existait déjà plus au XIVe siècle quand les Harville acquièrent le fief. La Celle (du latin "cella" = ermitage) tient son nom de l'ancien monastère.

Nous savions déjà que le château était superbement meublé, mais nous ne nous attendions pas vraiment à une telle profusion de meubles, tentures, et objets anciens dans un petit village caché au fin fond des Yvelines!
Notre hôte s'est avéré être un collectionneur, et son château un véritable musée privé. Il y avait tellement d'objets à présenter et commenter que la visite qui devait durer deux heures s'est transformée en un véritable marathon de 3 heures. Thierry Gobet, "historien de formation", me dit-il, était aussi intarissable que passionné. Entre développements sur l'histoire de l'art, partages sur les problématiques du collectionneur, anecdotes et présentation des œuvres , de digression en digression la séance s'est allongée inexorablement.

Mais j'ai l'impression que telle était la richesse de ce qui nous était présenté, dont nous avions la sensation d'être des "découvreurs" privilégiés, telle était la passion forcément respectable de notre hôte, l'épreuve physique qu'a constitué pour certains la visite lui fut largement pardonnée...
Notre amie Henriette, par exemple, suffoquait d'enthousiasme: "C'est la meilleure visite que nous ayons faite depuis 4 ans!"
Thierry Gobet se définit comme un conservateur privé. Il se voit aussi comme un simple" maillon entre passé et futur" et se montre très préoccupé par le souci de la pérennisation, après lui, de son œuvre de conservation.
A l'issue de la séance, il  a dédicacé son dernier ouvrage :"France: les véritables enjeux"(Edit Jean Picollec) consacré à l'économie. Vendu 15 euros, il a eu je crois pas mal d'acquéreurs.

 
Une vue extérieure du château de La Celle.

Et puis ce fut le pique-nique au château; le temps étant hésitant, il s'est partagé entre la salle à manger , les jardins, et les marches d'escalier de la cour de la grande demeure...
Nous avons aussi bien admiré le jardin, qui semble être le domaine de Mme Gobet: de belles compositions fleuries s'étagent au pied d'un sorte de colline boisée qui occupe la partie nord du parc.

Un grand souvenir pour tout le monde en tous cas,  je crois!

Retrouvez une exploration plus complète de La Celle Les Bordes sur: http://jmsattohurepoix.blogspot.com/2015/02/a-la-decouverte-des-yvelines-la-celle.html

Pour visiter, prendre contact avec Thierry Gobet au 0134852202.

                                      DES IMAGES !

 
Nous accédons avec émotion dans  la vaste cour intérieure du château, là même où, par exemple, les équipages de la  duchesse d'Uzès et sa meute de 60 chiens, il y a un peu plus d'un siècle , se préparaient à partir pour la chasse... Ci- dessus la façade ouest du château.(Voir sur internet certaines cartes postales anciennes qui montrent cela.)
 

 
Le toit de cette belle dépendance est agrémenté de lucarnes du XIXe , d' "esprit Renaissance".

 
Au fond, une autre dépendance.

 
La porte d'entrée .


 Thierry Gobet a fait ajouter ici les armoiries de deux anciennes familles propriétaires, notamment à gauche celles des Harville.

 
Dans l'attente du maître des lieux (photo Marcelle).

 
Bientôt, nous entrons en contact avec Thierry Gobet (photo: Marcelle).


                         Quelques instants plus tard, le propriétaire du château accueille les visiteurs.
On aperçoit au fond une maison plus ancienne à laquelle le château s'est adossé. Elle donne sur la rue.

 
Il y en a un qui prend des notes ! Photo: Marcelle.
 
 
Ici commença un long marathon - très intéressant - de trois heures! Le discours était érudit et non dénué d'humour!
 
 
Ah, bien vu, Guy! (photo: Guy Burgade).
 
Visite intérieure.
 
 

 Tout de suite, l'œil est happé par les nombreux trophées de chasse (appelés "massacres") tapissant le plafond du couloir d'accès à la pièce principale. Plus de 2000 de ces trophées datant notamment de l'époque de la duchesse d'Uzès couvrent murs et plafonds du château.

 
Dans le couloir, un portrait de Claude de Harville, compagnon d'Henri IV et constructeur du château.


                           La pièce principale, tapissée de "massacres", a une surface de 90 m2.

 
Les canapés ne sont pas de refus tandis que notre guide poursuit sa présentation.

                                                    
                                           Autre vue de la pièce principale (côté mur ouest).

 
Chaque "massacre" est doté d'inscriptions mentionnant le lieu où l'animal a été attaqué, puis pris, et quel limier le chasseur a suivi.
 
 
Autre prise de Guy.
 

 
Joli tableau entre les massacres.(phot de Guy).
 
 
Vue du mur est.

 
Portrait -sauf erreur- du père de Claude de Harville.
 
 
Des visiteurs studieux. Photo de Marcelle.
 
 
Eh bien , eh bien, Jacques? (photo de Claude).
 
 
Ce beau rafraîchissoir (on y mettait de la glace) trouvé dans une carrière semble fasciner certaines visiteuses (Photo: Claude).
 
 
Ici notre hôte présente un joli bronze représentant une tête de cerf placée sur une table à gibier recouverte de marbre.
 
 
Nous passons dans la salle à manger, plus petite, où trône une table d'apparat destinée à l'origine à présenter des objets.
 
 
Devant la cheminée. Photo de Jaja.
 

                     Au mur , une belle tapisserie représentant des personnages d'époque Louis XIII.


                            Un des beaux meubles de style ancien du château.(Photo de Guy).

 
Trophée. Photo de Jaja.

 
Tête de sanglier: photo de Jaja.


 
Ici un trophée double : les deux cerfs tués en 1905 étaient ainsi enchevêtrés (photo: Jean-Marie).
 
 
L'escalier Renaissance mène au 1er étage , où sont exposées de nombreux meubles et pièces diverses de la collection privée de Thierry Gobet. Nous apercevons au fond une belle tapisserie représentant Alexandre le Grand.

 
Un peu d'humour: visiblement la malicieuse Jaja a pris "son" pied au cours de cette visite! (photo de Jaja).
 
Un coup d'œil dans le jardin.
 
 
La façade du château donnant sur le parc.
 
 
 
L'entrée côté parc. Photo: Claude.
 
 
Cet arbre a la drôle de forme aurait un pouvoir magique: touchez- le, il vous donnera de l'énergie!
 
 
On a une belle vue sur l'église depuis le parc (photo: Guy).

 
 Belles compositions florales sur les pentes de la colline boisée qui occupe le nord du parc.
 
Et on a fini par le pique-nique!
 
 
Nos Ulissiens Joel et Anne-Marie ont choisi un décor très classe pour leur pique-nique!
 
 
Certains ont choisi le décor non moins "classe" de la salle à manger (photo: Jean-Marie).
 
 
D'autres se sont contentés des marches d'escalier (ah ben, ils sont beaux! Merci,Jaja!)
Photo de Jaja.
 
FIN de la VISITE du CHATEAU de La CELLE.
 
A VOIR AUSSI : la journée du 16 mai, 2e partie  : la rando de La Celle Les Bordes à Bullion.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 



dimanche 17 mai 2015

Journée du 16 mai 2015 - 2e partie : la rando de LA CELLE LES BORDES à BULLION.


Après le pique nique au château de La Celle, les volontaires pour la randonnée, au nombre de 14 (3 personnes nous suivaient de plus en voiture), s'étaient rendus en voiture au village de Les Bordes,  au point de départ prévu : le parking qui fait face au beau châtelet d'entrée flanqué de deux tourelles, datant du XVe s, qui constitue tout ce qui subsiste du château des Bordes, demeure d'origine de la famille de Harville  (qui construira plus tard le château de La Celle). Aujourd'hui, il sert de portail d'entrée à un domaine privé au fond duquel un autre château (invisible) a été bâti au XIXe siècle.

 
Le châtelet d'entrée flanqué de deux tours ( XVe s) de l'ancien manoir des Bordes. A l'emplacement du parking existait autrefois un abreuvoir pour les animaux.
 
 
Une jolie prise de Marcelle dans un encadrement de feuillage.
 
Nous nous engageons alors dans la  rue du moulin de Béchereau qui mène à Bullion. Au passage, nous admirons une ancienne maison à tourelle rénovée où sont installées aujourd'hui des chambres d'hôte. 
 
Une ancienne maison à tourelle (photo de Marcelle)...
 
Plus loin, délaissant la route de Bullion qui continue sur notre gauche, nous continuons tout droit sur un chemin de terre qui va dévaler la vallée de la Celle (la rivière qui traverse le village du même nom avant de  poursuivre son cours sur la commune de Bullion). Arrivés au creux de la vallée, nous traversons la Celle sur le pont de Chambernoux. Il marque la limite entre les communes de La Celle et de Bullion. C'est à partir de là que le cours d'eau nommé "la Celle" devient  "l'Aulne"!
 
 
Le pont de Chambernoux.
 
Autrefois existait à proximité un moulin. Il ne reste  ici que quelques bâtiments , dont une maison habitée apparemment, qui forment un petit hameau.
 
 
Une maison du hameau de Chambernoux.
 
Le chemin à présent nous fait remonter à travers bois l'autre versant de la vallée de La Celle, jusqu'à la route de La Celle à Bullion. Nous suivons cette route à gauche. Nous aurions pu passer , pour
 
 
Nous remontons à travers bois l'autre versant de la vallée de La Celle.(photo: Guy)
 
 parvenir à Bullion, par un chemin de terre, mais j'ai préféré emprunter la route: car au sortir du bois de La Celle se profilent au fond d'une vaste plaine les tourelles du manoir des Carneaux, comme un mirage! Cependant en mai, le feuillage des arbres masque davantage le manoir, et le manque de luminosité de ce 16 mai atténuait la magie de cette vision...Le manoir-ferme des Carneaux
 
 
Au débouché du bois de La Celle, une pause pour admirer la vue... (Boudiou ce qu'il est grand celui-là!). Photo: Guy.
 
 
Au fond d'une vaste vallée, les tourelles du manoir des Carneaux, comme un mirage! C'était la résidence, construite au XVe siècle, des seigneurs de Bullion (photo du 4 mai 2015: le feuillage ne cachait pas encore le manoir, et un rayon bienvenu l'éclairait).
 
 
JM présente le manoir des Carneaux (photo: Claude).
 
hameau de Bullion), qui date du XVe siècle, a été construit à l'emplacement d'une ancienne place-forte médiévale (Carnaux signifie "créneaux" en vieux français). La seigneurie est possédée dès 1482 par Jean de la Motte, écuyer. Puis ce fut la résidence de Claude de Bullion et de ses descendants. Seigneur de Bonnelles, il acquiert en 1611 la seigneurie de "Boulon", nom qu'il transforma dix ans plus tard en "Bullion" avec l'accord du Roi. Dès 1795, le manoir appartient à la famille de Crussol d'Uzès.Vendu comme bien d'émigré à la Révolution, le manoir sera transformé en ferme au XIXe siècle; puis la demeure est restituée à la famille de Crussol d'Uzès ... Le manoir a été entièrement restauré dans les années 1990 par Jean Hamon, l'actuel propriétaire, un collectionneur d'art contemporain qui orne le domaine d'œuvres. Le beau colombier daterait du XVIIe siècle. Le manoir ne se visite pas, il s'agit d'une propriété privée. Comment ne pas prendre une belle photo de groupe sur ce fond prestigieux, malgré le temps maussade? Autour de la propriété s'étendent de
 

Les randonneurs:  de g à dr  Norbert et Jaja, amis de presque 40 ans, Michelle (épouse de Jean-Marie), Guy, Danielle (amie de Simone),Claude, Josette (amie de Simone),Jean-Marie, Simone, Joel (un ulissien qui s'est joint à nous),Marcelle (amie de Jaja),Danielle (ancienne du lycée de Gif), Anne-Marie (épouse de Joel). 3 autres personnes nous ont suivi en voiture : Florence et deux amies Marie-Dominique et Jacqueline).

 
Et n'oublions pas le GO.
 
vastes prairies où paissent 250  magnifiques vaches de Salers, appartenant aux propriétaires du manoir,qui ont fortement retenu notre attention et nos objectifs.... Nous entrons bientôt dans
 
 
De magnifiques vaches de Salers...
 
 
Elle portent de remarquables cornes (photo de Guy).
 
 
Jaja et les Salers (photo de Marcelle).
 
 
Claude s'essaie à une prise du château caché par le feuillage, le soleil se fait désirer.
 
 
Voici ce que donnait la même vue quelques semaines plus tôt, avec un autre éclairage.
On aperçoit une des œuvres contemporaines installées dans le domaine. Certaines tourelles ont été remontées en 1990 lors de la rénovation de Jean Hamon. A droite, le colombier du XVIIe siècle.
 
Bullion joliment dominée par le clocher de son église. Chacun perçoit tout de suite la principale originalité de cet édifice consacré à Saint Vincent et Saint Sébastien : le porche en bois qui la devance ,une rareté, qui à l'origine devait servir d'abri aux pèlerins, puis a accueilli les bavardages des fidèles sortant de la messe, d'où l'appellation  de "caquetoire". Surprise: l'église est ouverte , et nous avons la chance de pouvoir la visiter... Construite entre le XIe et le XVIe siècle pour l'essentiel, elle est flanquée d'un beau  presbytère du XVIIe...Nous avançons ensuite vers la place des Patagons.
 
 
L'entrée dans Bullion (fév 2015).
 
 
L'église Saint Vincent et Saint Sébastien (XIe-XVIe s) précédée de son caquetoire (Photo: Marcelle).
 
 
On caquette dans le caquetoire...

 
La nef centrale, et le chœur(XVIes).
La partie gauche de l'église daterait du XIes.
 
 
Vitrail central du chœur.

Le collatéral droit date des XIVe - XVe siècles.
 
 
Statue naïve de Saint-Eloi (photo: Claude).

 
Tête sculptée (photo Jaja)
 
 
Une très belle prise par Marcelle du flanc droit de l'église (XIVe-XVe) qui semble découpé en chapelles, alors qu'il n'en est rien. On aperçoit à gauche l'amorce du presbytère du XVIIe.
 
dont les maisons ont de jolis volets colorés. Au début du XXe siècle, les habitants menaient paraît-il une "vie de patachon" ("Patagon" serait dérivé de ce mot); autrement dit, c'étaient de joyeux fêtards. C'était justement jour de fête à Bullion, avec brocante et manèges ...Nous avons pu constater qu'ici
 
 
La place des Patagons.
 
quand on fait la fête, ce n'est pas moins de 4 jours ! La tradition se perpétue! Nous gagnons ensuite le lavoir des Valentins, le plus grand des 4 lavoirs de Bullion, qui comporte deux originalités : il est composé de deux parties qui se font face, et flanqué d'une petite cahute. Demi-tour ensuite pour
 
 
L'original lavoir des Valentins (photo de Jean-Marie).
 
le quartier de la mairie. Celle-ci date de 1865, ce qui me fait penser que contrairement à ce que l'on croit souvent les mairies-écoles ne datent pas de la 3e République , mais sont antérieures : nous étions alors sous Napoléon III ! On ne rend peut-être pas assez justice à ce souverain! Nous
 
 
Du côté de la mairie (photo: Claude)
 
gagnons apercevons pour finir une tour ancienne ornant une résidence secondaire à laquelle elle a été intégrée: la tour de Guette ; c'est un vestige de l'ancien manoir de Guette, qui en comportait 4, et qui était au XVe siècle le centre d'une autre seigneurie. Nous retournons à présent du côté du hameau des Carneaux, où sont garées les voitures qui doivent nous ramener au point de départ de la balade. Au
 
 
La mairie et à gauche la tour de Guette.
 
passage, quatre jeunes chevaux un peu malingres nous amusent. Nous suivons la direction des Bordes: nous longeons maintenant l'arrière du manoir des Carneaux et de sa ferme et nous poussons
 
 
Des amours de chevaux (photo: Marcelle).
 
jusqu'à l'ancien moulin de Béchereau ,qui dépendait autrefois du manoir. Du moulin, il ne reste rien, en revanche la belle maison d'habitation , devenue maison privée, existe toujours, avec quelques
 
 
Le logis d'habitation de l'ancien moulin de Béchereau.
 
autres bâtiments. Nous apercevons l'ancien bief , mais l'abondance de la végétation de mai nous empêche de distinguer la chute d'eau que l'on entend pourtant... Retour aux voitures. Dans une vaste
 
 
Qu'elle était verte ma vallée...
 
et belle prairie située derrière le manoir, deux chevaux -superbes  cette fois - viennent se lier d'amitié avec Danielle notamment :  par quel atout les attire-t-elle particulièrement? Mystère!
La journée va s'arrêter sur cette belle rencontre, quand... Seuls quelques initiés connaissent la merveilleuse fin, le bouquet final, la cerise sur le gâteau de cette belle journée!

 
Naissance d'un grande amitié. 
 
Fin de la rando.
 
*A voir ou revoir:
La journée du 16 mai 2015 : 1e partie: l'ébouriffante visite du château de La Celle Les Bordes.
 
*A voir aussi, une exploration plus complète de Bullion sur: